Sum 41 est l’un des ambassadeurs de la nouvelle scène punk nord-américaine. Formé en 1996 par le chanteur et guitariste Deryck Whibley, ce groupe canadien est vite devenu l’égal de formations comme Green Day, Blink-182 ou The Offspring.

 

Aux côtés de Whibley, on trouve un autre guitariste, Dave Baksh, le bassiste Cone McCaslin et le batteur Steve Jocz. Le quatuor publie un premier mini album en 1999, Half Hour Of Power, qui lui vaut de tourner à travers les États-Unis avec quelques-uns des groupes susmentionnés.

 

Une notoriété mise à profit pour publier en 2001 All Killer, No Filler, produit par Jerry Finn. Cet opus donne lieu à une nouvelle série de concerts à guichets fermés.

 

Sum 41 signe, quelques mois plus tard un titre sur la bande originale du film Spiderman : What We’re All About.

 

Ce morceau précède le second véritable album du groupe, Does This Look Infected?. Une galette délivrée en 2002, qui permet cette fois-ci à Sum 41 de partager la scène avec Iron Maiden !

 

Un témoignage de cette tournée est disponible dans le DVD Sake Bombs And Happy Endings, sorti en 2003 et basé sur un concert enregistré au Japon, et plus précisément à Tokyo. Une année durant laquelle les Canadiens collaborent aussi à la compilation « Rock Against Bush » et à l’album de Iggy Pop, Skull Ring.

 

Le combo se trouve une nouvelle fois, bien malgré lui, sous les feux de l’actualité en juin 2004. En visite au Congo pour tourner un documentaire pour l’organisation canadienne War Child, les membres de Sum 41 se retrouvent piégés par la guerre qui ravage le pays.

 

Ils ne doivent qu’à un représentant de l’ONU, de pouvoir être rapatriés chez eux. Il en résulte l’album Chuck qu’ils dédient à leur sauveur, Chuck Pelletier. Un opus qui sort en octobre, précédé du single We Are All To Blame.

 

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