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Certains films usent d’une base politique gouvernementale. Outre le cas de The Host, dont le sujet est traité en détail dans le dossier correspondant, le cas de Guilala Strikes Back: Toyako Summit Crisis, réalisé en 2008 par Minoru Kawasaki est assez intéressant. Il prend en effet comme base le G-8. Il prend également comme éléments du réel les différents dirigeants des pays industrialisés du monde actuel, que nous retrouvons sous les traits d’acteurs plus ou moins ressemblant suivant les cas (l’acteur qui incarne Sarkozy est assez ressemblant tandis que le double de Silvio Berlusconi n’est pas tout a fait identique) : |
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Il est possible de faire un parallèle avec le film Team America: World Police, qui tourne en ridicule la politique actuelle (Kim Jong-il est relégué au rang de méchant digne d’un James Bond, Michael Moore est un pacifiste violent, …). Dans Guilala Strikes Back, certains présidents sont tournés en dérision, dont notre cher président, nommé Escargot Sarkozy dans le métrage : il passe son temps à draguer son interprète japonaise (tel que cette phrase « Vous êtes mon arc de triomphe et je suis la Tour Eiffel, et j’ai bien envi d’y pénétrer »), et apparaît en héros lorsque Kim Jong-il prend en otage les membres du G8 (Notre Président, affronte l’ennemi tout en étant en serviette ; il va même jusqu’a enlever cette dernière pour distraire l’ennemi (des soldats féminins) en s’écriant « Regardez moi ça ! ». |
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