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Réalisateur : Jun Fukuda |
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Scénariste : Shinichi Sekizawa |
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Musique : Masaru Satoh |
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Effets Spéciaux : Eiji Tsuburaya et Teisho Arikawa |
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Titre
Original : Godzilla,
Ebirah, Mothra: Big Duel in the |
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Titre |
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Titre
International : Ebirah,
Horror of the Deep |
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Date de sortie japonaise : 17 Décembre 1966 |
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Monstres : - Ebirah -
Daikondura [Giant Condor] |
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Durée japonaise : 87
minutes |
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Durée
américaine : 82
minutes |
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Note :
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Synopsis : Prêt a tout pour retrouver son frère, Yata, disparu en mer, Ryota vole un yacht et embarque avec Ichino, un ami, peu intelligent. Le yacht appartient a Yoshimura, un cambrioleur. Il part également avec eux. Une fois arrivé prés de l’île de Letchi dans les mers du sud, le bateau est attaqué par un géant, Ebirah. Ils se retrouvent donc coincés sur cette île. L’île est gouvernée par l’organisation du Red Bamboo. Cette organisation exploite les indigènes. Ryota et ses amis rencontre une habitante de Infant Island et se reposent dans une grotte. Celle-ci leur apprend que Mothra peut venir les aider. Mais Mothra ne pourra pas combattre Ebirah et secourir les prisoniers. Ils décident alors de ressusciter Godzilla, bloqué par des rochers. Ils espèrent qu’il pourra battre Ebirah. |
Casting : Godzilla …
Haruo Nakajima Ebirah …
Hiroshi Sekida Yoshimura …
Akira Takarada Ryota … Tohru Watanabe Ichino …
Chotaro Togin Daiyo … Kumi Mizuno Commandant du Red
Bamboo … Jun Tazaki Leader du Dragon Squadron
… Akihiko Hirata Les Shobijin …
"Pair Bambi" |
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Critique d’Eiga No Mura : Ebirah: Horror of the Deep continue sur la lancée de Godzilla vs. Monster Zero où Godzilla perd finalement toute sa dimension adulte. C'est aussi un film marqué par la sévère restriction de budget dont la série va dorénavant souffrir. Plus question ici de destruction de villes, mais plutôt de combat sur une île isolée. Pourtant le kitch apparent du film le rend attachant. Parsemé de scènes volontairement drôles comme la partie de volley ball avec un rocher entre Godzilla et Ebirah, le film emprunte aussi son scénario aux films d'espionnage américain avec une base secrète, un complot militaire, etc... Et au milieu de tout cela, nous retrouvons Mothra, dont les danses effectuées par les indigènes pour la réveiller sont réellement sublimes. Il n'est plus ici d'une quelconque dimension tragique, mais le film assume son côté fun et décomplexé avec bonheur. Impossible donc de s'ennuyer avec ce nouvel opus. Note d’Eiga No Mura : 3/5 |
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